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{ Méditation du 8 mars } Sera remplacé par le titre de la campagne
8 mars
Apportons-nous le bien dans ce monde?
Faisons-nous du bien en passant?
Tu es en ce monde pour y apporter le bien. Tu es ici pour rayonner l’amour, la lumière et la sagesse vers toutes les âmes dans le besoin. Tu as du travail à faire, et tu ne peux faire ce travail que lorsque tu t’es mis au clair et que tu peux être uni au tout, quand tu ne te mets plus à part, ne critiques plus et ne te sépares plus du tout.
Te sens-tu faire un avec toutes les âmes autour de toi? Te sens-tu en paix avec le monde, ou tes pensées sont-elles créatrices de conflit, critiques et destructrices? Souviens-toi toujours: l’amour, la joie et le bonheur créent l’atmosphère juste et rassemblent toutes les âmes semblables. Alors surveille-toi, et commence dès maintenant à n’attirer vers toi que le meilleur. Tu peux changer totalement et en un clin d’œil ton attitude et ta façon de voir. Pourquoi ne pas le faire? Accorde-toi avec toute vie, et trouve cette paix qui dépasse tout entendement.
(La petite voix. Méditations quotidiennes)
103:5.2 L’idée-idéal de faire du bien aux autres – l’impulsion à refuser quelque chose à l’égo au profit de son prochain – est d’abord très circonscrite. Les hommes primitifs ne considèrent comme leurs prochains que les hommes très proches d’eux, ceux qui font bon voisinage avec eux. À mesure que la civilisation religieuse progresse, le concept de la notion du prochain s’amplifie pour englober le clan, la tribu, la nation. Puis Jésus élargit la notion du prochain jusqu’à embrasser l’ensemble de l’humanité, allant jusqu’à dire que nous devrions aimer nos ennemis. Et il y a quelque chose à l’intérieur de tout être humain normal qui lui dit que cet enseignement est moral – juste. Même ceux qui mettent le moins cet idéal en pratique admettent qu’il est juste en théorie.
3:5.13 Le désintéressement – l’esprit d’oubli de soi – est-il désirable? Alors, il faut que l’homme mortel vive face à face avec les clameurs incessantes d’un moi qui demande inéluctablement reconnaissance et honneur. L’homme ne pourrait choisir dynamiquement la vie divine s’il n’y avait pas une vie du moi à délaisser. L’homme ne pourrait jamais faire jouer la droiture pour son salut s’il n’y avait pas de mal potentiel pour exalter et différencier le bien par contraste.
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