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{ Méditation du 5 juillet } Sera remplacé par le titre de la campagne
5 juilletQuelles sont nos pensées sur l’abondance, l’abondance divine?
Tes pensées sur l’abondance déterminent si tous tes besoins sont comblés ou non! Lorsque tu penses « manque » ou « pauvreté », lorsque tu laisses entrer dans ta conscience « peur », « inquiétude », « infériorité », « convoitise », « égoïsme » et « anxiété » et lorsque tu t’attardes sur ces états d’esprit négatifs, tu attires à toi le pire. Lorsque tu penses comme un pauvre, tu es pauvre, car tu te prives de toutes les bonnes choses de la vie, qui sont tiennes lorsque tu réajustes ta manière d’y penser et ton attitude envers elles.
Commence dès maintenant à penser prospérité. Imagine que tous tes besoins sont merveilleusement comblés. Refuse de te voir manquer de quoi que ce soit, car si tu manques de quelque chose, la restriction se trouve dans ta propre conscience. Pourquoi arrêter le flot de mes ressources abondantes, sans limite, par ta conscience limitée, restrictive? Quand tu commenceras à comprendre et à accepter d’où vient chaque chose, et lorsque tu pourras Me remercier pour tout, librement et joyeusement, moi, le pourvoyeur de chaque don parfait et bon, tu ne manqueras de rien, d’absolument rien.
(La petite voix. Méditations quotidiennes)
176:3.5 « À quiconque possède, il sera donné davantage, et il possèdera abondamment ; mais, à qui n’a rien, on enlèvera même ce qu’il détient. On ne peut rester stagnant dans les affaires du royaume éternel. Mon Père demande à tous ses enfants de croitre en grâce et dans la connaissance de la vérité. Vous, qui connaissez ces vérités, devez produire l’accroissement des fruits de l’esprit et manifester un dévouement croissant au service désintéressé de vos compagnons qui servent avec vous. Souvenez-vous que, dans la mesure où vous servez le plus humble de mes frères, c’est à moi que vous rendez service.
140:8.17 Jésus mit fréquemment ses auditeurs en garde contre la cupidité en déclarant que « le bonheur d’un homme ne consiste pas dans l’abondance de ses possessions matérielles ». Il réitérait constamment sa formule : « À quoi sert-il à un homme de gagner le monde entier et de perdre sa propre âme? » Il ne lança pas d’attaques directes contre la possession des biens, mais il insista sur le fait qu’il est éternellement essentiel de donner priorité aux valeurs spirituelles. Dans ses enseignements ultérieurs, il chercha à corriger beaucoup de points de vue urantiens erronés sur la vie, en racontant de nombreuses paraboles qu’il présenta au cours de son ministère public. Jésus n’eut jamais l’intention de formuler des théories économiques ; il savait bien que chaque époque doit élaborer ses propres remèdes aux difficultés existantes. Si Jésus était sur terre aujourd’hui, vivant sa vie incarnée, il décevrait grandement la majorité des hommes et des femmes de bien, pour la simple raison qu’il refuserait de prendre parti dans les débats politiques, sociaux et économiques du jour. Il resterait majestueusement sur la réserve, tout en vous enseignant à perfectionner votre vie spirituelle intérieure de manière à vous rendre infiniment plus compétents pour attaquer la solution de vos problèmes purement humains.
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