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{ Méditation du 4 juillet } Sera remplacé par le titre de la campagne
4 juillet
Avons-nous le courage de faire face à nos peurs (peur : Fausses Évidences Apparaissant Réelles)? Démontrons-nous de la bravoure spirituelle?
« Bénis soient ceux qui ont faim et soif de justice, car ils seront comblés! » Lorsque ton désir est assez fort, il sera comblé, car tu chercheras et chercheras encore la réponse et ne seras pas satisfait tant que tu ne l’auras pas trouvée. Tu auras la détermination, la patience, la persévérance et la persistance pour mettre tout en œuvre jusqu’à ce que tu aies trouvé ce que tu cherches au long de ce chemin spirituel: la réalisation de ton Unité avec Moi.
Ne te décourage jamais et n’aie pas l’impression que tu cours après la lune, mais sache simplement qu’à la fin tu trouveras ce que tu cherches si tu ne faiblis pas en cours de route, ni n’abandonnes de désespoir. Cela vaut la peine de surmonter tout obstacle pour atteindre le but, alors sois déterminé à trouver la manière de le faire, et jamais, à aucun moment, ne ressens quelque chose comme insurmontable ou impossible. Sois fort et courageux. Continue encore et toujours. Tu y arriveras infailliblement!
(La petite voix. Méditations quotidiennes)
3:5.6 Le courage – la force de caractère – est-il désirable? Alors, il faut que l’homme soit élevé dans un environnement qui l’oblige à s’attaquer à de dures épreuves et à réagir aux désappointements.
140:5.8 « Heureux ceux qui ont faim et soif de droiture, car ils seront rassasiés. » Seuls ceux qui se sentent pauvres en esprit auront soif de droiture. Seuls les humbles recherchent la force divine et désirent ardemment le pouvoir spirituel. Il est fort dangereux, cependant, de pratiquer sciemment le jeûne spirituel en vue d’accroitre votre faim de dons spirituels. Le jeûne physique devient dangereux après quatre ou cinq jours, car on risque de perdre tout désir de nourriture. Le jeûne prolongé, soit physique soit spirituel, tend à détruire la faim.
140:5.9 L’expérience de la droiture est un plaisir, et non un devoir. La droiture de Jésus est un amour dynamique, une affection paternelle-fraternelle. Ce n’est pas une droiture négative du type « tu ne feras pas ». Comment pourrait-on avoir soif de quelque chose de négatif – de quelque chose « à ne pas faire »?
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