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{ Méditation du 29 août } Sera remplacé par le titre de la campagne
29 août
Faisons-nous notre propre travail?
Tu dois faire ton propre travail dans cette vie spirituelle. Je suis toujours là pour aider les âmes qui s’aident elles-mêmes, mais tu dois faire le premier pas. Tu n’apprendras jamais de leçons si l’on fait tout pour toi. Tu ne peux pas élever un enfant en faisant tout pour lui. Tu dois le laisser faire les choses par lui-même. Peu importe que ses actions soient lentes ou hésitantes au début, tu dois être très patient et rester en arrière. Avec une infinie patience et beaucoup d’amour, Je dois rester en arrière et te voir effectuer ton propre travail et faire des erreurs. Mais souviens-toi toujours: tu bénéficieras de tes erreurs; rien ne se fait en vain. Tu apprends tout le temps de nouvelles leçons et tu avances le long de ce chemin spirituel. Chaque pas, aussi petit soit-il, te mène plus prêt du but: la réalisation de ton Unité avec moi. Jusqu’à ce que, finalement, tu te rendes compte qu’il n’y a pas de séparation, que tout est un et que tu fais partie de cette vie unique et radieuse.
(La petite voix. Méditations quotidiennes)
48:6.37 Vous apprendrez que vous accroissez vos fardeaux et diminuez vos chances de succès en vous prenant trop au sérieux. Rien n’a priorité sur le travail concernant votre sphère statutaire – le présent monde ou les suivants. Le travail de préparation pour la prochaine sphère plus élevée est fort important, mais rien n’est aussi important que de travailler dans le monde sur lequel vous vivez actuellement. Mais, bien que le travail soit important, le moi ne l’est pas. Quand vous vous sentez important, vous perdez tant d’énergie à justifier la fierté de votre égo qu’il reste peu d’énergie pour faire le travail. C’est l’importance attachée au moi et non l’importance attachée au travail qui épuise les créatures immatures. C’est l’élément moi qui épuise, et non l’effort pour aboutir. Vous pouvez faire une œuvre importante si vous ne vous attribuez pas d’importance. Vous pouvez faire plusieurs choses aussi facilement qu’une seule si vous laissez votre moi de côté. La variété est reposante, c’est la monotonie qui use et épuise. Jour après jour, la veille ressemble au lendemain – elle n’offre que l’alternative de la vie ou de la mort.
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