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{ Méditation du 18 mai } Sera remplacé par le titre de la campagne
18 mai
Pratiquons-nous la règle d’or dans toutes nos interactions?
Fais à autrui ce que tu voudrais que l’on te fasse. Prends du temps pour penser à cette loi et puis qu’elle guide tes actes. Au fur et à mesure que tu la mets en pratique, tu verras que tout égoïsme et souci pour toi-même disparaitront, et ton amour pour tes compagnons humains prendra la première place. C’est lorsque tu penses et vis pour les autres que tu trouves la vraie liberté et le vrai bonheur. Lorsque tu es dans cet état de conscience élevé, tout peut arriver, car la vie peut couler librement sans aucune obstruction. Refuse de voir l’obstruction; ne vois que des occasions! Lorsque tu te trompes, remets-toi dans le bon chemin, et apprends à travers toute chose.
Il existe une réponse à chaque problème; cherche jusqu’à ce que tu l’aies trouvée. Tu n’as jamais besoin de chercher en vain, car si tu cherches chaque réponse avec diligence, tu la trouveras surement. Mais souviens-toi, n’attends jamais que tout te tombe tout cuit dans la bouche si tu ne joues pas ton rôle et si tu ne fais pas ce qui doit être fait. J’aide les âmes qui participent.
(La petite voix. Méditations quotidiennes)
3:5.13 Le désintéressement – l’esprit d’oubli de soi – est-il désirable? Alors, il faut que l’homme mortel vive face à face avec les clameurs incessantes d’un moi qui demande inéluctablement reconnaissance et honneur. L’homme ne pourrait choisir dynamiquement la vie divine s’il n’y avait pas une vie du moi à délaisser. L’homme ne pourrait jamais faire jouer la droiture pour son salut s’il n’y avait pas de mal potentiel pour exalter et différencier le bien par contraste.
147:4.9 « Le niveau spirituel. En dernier lieu, nous atteignons le niveau de clairvoyance d’esprit et d’interprétation spirituelle, le plus élevé de tous. Il nous pousse à reconnaitre, dans cette règle de vie, le divin commandement de traiter tous les hommes comme nous concevrions que Dieu les traiterait. Tel est l’idéal universel des relations humaines, et telle est aussi votre attitude envers tous ces problèmes quand votre suprême désir est de toujours faire la volonté du Père. Je voudrais donc que vous fassiez à tous les hommes ce que vous savez que je ferais pour eux dans des circonstances semblables. »
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