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{ Méditation du 17 mai } Sera remplacé par le titre de la campagne
17 mai
Est-ce que nous ressentons que nous faisons partie du tout?
Toute chose fait partie du tout, et tu fais partie de ce tout. Lorsque tu t’en rendras pleinement compte et que tu pourras l’accepter, tu ne ressentiras plus jamais la séparation. Tu ne pourras plus jamais te séparer de cette globalité parce que c’est le fait de vivre, de mettre en pratique qui lui donne vie, force et réalité. Commence dès maintenant à vivre et à mettre en pratique tout ce que tu as appris, et ne laisse plus ces leçons demeurer en toi comme des mots vides et sans réalité.
Une graine ne pousse pas tant qu’elle n’a pas été enfouie dans le sol et qu’on ne lui a pas procuré le bon environnement. Une âme ne s’étend pas, ni ne grandit, ni ne trouve son expression propre tant qu’elle ne se trouve pas dans le bon environnement, entourée d’amour et de compréhension. Dans ces conditions, il commence à se passer des choses, et très rapidement des changements surviennent. L’ancien s’efface dans la lumière du splendide nouveau, et la croissance et l’expansion de la conscience peuvent se faire sans aucune restriction.
(La petite voix. Méditations quotidiennes)
12:7.11 La fraternité constitue une relation de fait entre toutes les personnalités dans l’existence universelle. Nulle personne ne saurait échapper aux bénéfices ni aux sanctions qui peuvent survenir comme résultat de relations avec d’autres personnes. La partie profite ou souffre en proportion du tout. Le bon effort de chaque homme profite à tous les hommes ; l’erreur ou le mal commis par chaque homme accroit les tribulations de tous les hommes. Comme la partie se meut, ainsi se meut le tout. Comme le tout progresse, ainsi progresse la partie. Les vitesses relatives de la partie et du tout déterminent si la partie est retardée par l’inertie du tout ou portée en avant par la force vive de la fraternité cosmique.
133:6.7 « Quand l’âme humaine est murie, ennoblie et spiritualisée, elle approche du statut céleste, en ce sens qu’elle est proche d’être une entité intermédiaire entre le matériel et le spirituel, entre le moi matériel et l’esprit divin. L’âme évoluante d’un être humain est difficile à décrire, et son existence est encore plus difficile à démontrer, car on ne peut la découvrir ni par les méthodes d’investigation physiques ni par celles de la preuve spirituelle. La science matérielle ne peut prouver l’existence d’une âme, et les épreuves purement spirituelles non plus. Malgré l’impuissance de la science matérielle et des critères spirituels à découvrir l’existence de l’âme humaine, tout individu moralement conscient connait l’existence de son âme en tant qu’expérience personnelle réelle et effective. »
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