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{ Méditation du 12 juin } Sera remplacé par le titre de la campagne
12 juinSommes-nous sensibles à la beauté en chacun de nous et tout autour de nous?
La beauté de la vie est partout autour de toi. Ouvre les yeux et découvre-la, absorbe-la, apprécie-la, reflète-la et fais-en partie. Si tu t’attends à voir la beauté, tu la verras; tandis que si tu t’attends à voir la laideur, c’est elle que tu verras. Le choix t’appartient toujours. Abreuve-toi aux fontaines de la beauté et tu ne pourras t’empêcher de la refléter, car ce qui est au-dedans se reflète au-dehors.
Tu es comme un miroir; tu ne peux cacher ce qui est en toi, quelle que soient les tentatives que tu puisses faire, car ce qui est à l’intérieur ne peut être retenu. Tôt ou tard, cela s’exprimera dans le monde extérieur; alors, laisse-le couler librement, et n’essaie jamais d’arrêter ce flot. Élève ta conscience et tu seras capable de voir la beauté en toute chose et en chacun. C’est moi que tu verras reflété à ce moment-là, car je suis beauté, harmonie et perfection. Apprends à exprimer cette beauté et cette harmonie dans tout ce que tu penses, dis et fais.
(La petite voix. Méditations quotidiennes)
56:10.17 La beauté universelle est la récognition du reflet de l’Ile du Paradis dans la création matérielle
56:10.18 La matière physique est, dans l’espace-temps, l’ombre de la resplendissante énergie paradisiaque des Déités absolues.
56:10.3 La beauté, l’art, est largement une affaire d’unification de contrastes. La variété est essentielle au concept de beauté. La beauté suprême, le summum de l’art fini, est l’épopée de l’unification de l’immensité des extrêmes cosmiques, le Créateur et la créature. L’homme trouvant Dieu et Dieu trouvant l’homme – la créature devenant parfaite comme le Créateur – tel est l’accomplissement céleste de la beauté suprême, l’aboutissement de l’apogée de l’art cosmique.
56:10.4 Le matérialisme, l’athéisme, est donc le comble de la laideur, l’apogée de l’antithèse finie du beau. La beauté la plus grande consiste dans le panorama de l’unification des variations qui sont nées d’une réalité harmonieuse préexistante.
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