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{ Méditation du 12 décembre } Sera remplacé par le titre de la campagne
12 décembre
Pratiquons-nous et nous améliorons-nous à faire du bien aux autres?
Si tu dénombres les heures de pratique qu’un bon pianiste doit faire chaque jour avant de donner un superbe concert, tu commenceras à comprendre pourquoi tu dois toujours rester en alerte pour pouvoir vivre cette vie spirituelle de la façon dont elle devrait être vécue. Cela ne veut pas dire que tu dois te forcer, mais que tu dois être constamment en alerte et attentif à ce qui se passe, surtout au début.
Comme le pianiste travaillant en vue de la perfection doit répéter un morceau difficile encore et encore avant d’atteindre la satisfaction, ainsi dois-tu passer et repasser sur le même terrain, apprenant les mêmes leçons jusqu’à ce qu’elles fassent tellement partie de toi que tu ne peux pas t’en séparer, car elles sont enracinées en toi. Souviens-toi: personne d’autre que toi ne peux vivre cette vie pour toi; personne d’autre que toi ne peut s’exercer pour toi. Il n’y a que toi qui puisses le faire. Alors pourquoi ne pas commencer dès maintenant?
(La petite voix. Méditations quotidiennes)
103:5.2 L’idée-idéal de faire du bien aux autres – l’impulsion à refuser quelque chose à l’égo au profit de son prochain – est d’abord très circonscrite. Les hommes primitifs ne considèrent comme leurs prochains que les hommes très proches d’eux, ceux qui font bon voisinage avec eux. À mesure que la civilisation religieuse progresse, le concept de la notion du prochain s’amplifie pour englober le clan, la tribu, la nation. Puis Jésus élargit la notion du prochain jusqu’à embrasser l’ensemble de l’humanité, allant jusqu’à dire que nous devrions aimer nos ennemis. Et il y a quelque chose à l’intérieur de tout être humain normal qui lui dit que cet enseignement est moral – juste. Même ceux qui mettent le moins cet idéal en pratique admettent qu’il est juste en théorie.
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